- une cible exclusive sur l’augmentation de l’amplitude (volume sonore dans le système moteur de la parole; mouvements plus importants dans le système moteur des membres),
- un accent sur le réétalonnage sensoriel pour aider les patients à reconnaître que les mouvements avec une amplitude accrue sont dans les limites normales, même s’ils se sentent « trop forts » ou « trop grands »
- et la formation à l’auto-repérage et l’attention à ’action pour faciliter le maintien à long terme des résultats du traitement.
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Parkinson’s rehabilitation methods #1
- A diagnostic assessment of motor inhibitions,
- A work of motor imaging,
- Listening to low-frequency sounds generated by a patented medical device.

Les méthodes de rééducation contre le Parkinson #1
- Un bilan-diagnostique des inhibitions motrices,
- Un travail d’imagerie motrice,
- L’écoute de sons de basses fréquences générés par un dispositif médical breveté.

Afin d’en savoir plus sur cette méthode de rééducation, nous vous invitons à consulter leur site web -> Allyane : la méthode de rééducation neuromotrice innovante
Cognitive impairment and parkinson’s disease
Parkinson’s disease includes the classic motor signs but also many non-motor signs, some of which belong to the cognitive and neuro-behavioral register (apathy, dysexecutive syndrome, anxio-depressive syndrome, decreased libido …)
If we take Braak’s diagram concerning the progression of the disease (digestive tract, locus coeruléus, cortical areas), we better understand the onset of cognitive disorders in Parkinson’s disease related to Lewy bodies and alpha-synuclein aggregates.
The risk of developing severe cognitive impairment (dementia) is multiplied by a factor of 2 to 6 compared to the general population with known risk factors (age, duration of disease, male sex, axial signs of the disease, smoking, occurrence of hallucinations under treatment).
Imaging means (MRI, FDG Petscanner) can be used to better visualize the cortical areas affected and assess the evolving risk.
At an advanced stage of the disease, we can find attentional disorders, dysexecutive disorders (alteration initiation, planning, conceptualization), visuospatial disorders (alteration orientation and perception), then memory and language disorders that occur later.
An early assessment of cognitive disorders and the realization of a neuro-psychological assessment can therefore be useful to better specify the degree of the impairment and guide the management especially non-drug (speech therapy, occupational therapist …) and limit the risk of side effects likely to occur under drug treatment (L.Dopa or dopaminergic agonist).
Troubles cognitifs et maladie de Parkinson
Si on reprend le schéma de Braak concernant la progression de la maladie (tube digestif, locus coeruléus, aires corticales), on comprend mieux l’apparition des troubles cognitifs dans la maladie de Parkinson liés aux corps de Lewy et aux agrégats d’alpha-synucléine.
Sur le plan clinique et par opposition à la maladie d’Alzheimer (où les troubles cognitifs concernent la mémoire épisodique verbale et le langage pour les formes de type logopénique), les troubles cognitifs de la maladie de Parkinson intègrent plutôt initialement la sphère visuo-spatiale et les fonctions exécutives.
Le risque de développer des troubles cognitifs sévères (démence) est multiplié par un facteur 2 à 6 par rapport à la population générale avec des facteurs de risque connus (âge, durée de la maladie, sexe masculin, signes axiaux de la maladie, tabagisme, survenue d’hallucinations sous traitement).
On peut s’aider des moyens d’imagerie (IRM, Petscanner au FDG) pour mieux visualiser les aires corticales atteintes et apprécier le risque évolutif.
A un stade évolué de la maladie, on peut retrouver des troubles attentionnels, des troubles dysexécutifs (altération initiation, planification, conceptualisation), des troubles visuo-spatiaux (altération orientation et de perception), puis des troubles de la mémoire et du langage qui surviennent plus tardivement.
Une évaluation précoce des troubles cognitifs et la réalisation d’un bilan neuro-psychologique peut donc s’avérer utile pour mieux préciser le degré de l’atteinte et guider la prise en charge surtout non médicamenteuse (orthophonie, ergothérapeute …) et limiter le risque d’effets secondaires susceptibles de survenir sous traitement médicamenteux (L.Dopa ou agoniste dopaminergique).